Et les abîmes si profonds d’une vie tant idéaliste Ne peuvent donner satisfaction qu’au fond dans leur âme. Tous ces espoirs et envies, à longue haleine vous dé-pâment,
Resurgissant et marquant au rouge du sang, tel un kyste ! Et de ces chimères naissent et forment tous ce qui vous vêtîtes. Rêver n’est pas la moindre des choses, réalité en est la vie.
Essayez un peu de percevoir la majesté de ces lieux Imprégnez-vous, par la vue mais aussi par l’âme, de ces montagnes bleues. Il est de ces endroits, plus magnifiques, qui vous laissent en émoi Lorsque vous laissez agir le charme, devient un accord avec votre “Moi”.
À tes pleurs se mélangent les miens Et cette déchirure approfondis nos liens Dans l’espoir qu’un jour corps et biens De profonde réalité, ne ferons plus qu’un.
EsteBaN Hache
Cette œuvre est diffusée sous Licences Art Libre 1.3, et CC-By-SA 4.0.
À ce petit frère, de cinq ans mon cadet, Lui à qui je n’ai pas su dire : je t’ai tant aimé, De cette absence, en ton cœur et en tes yeux J’espère n’avoir rien ainsi refroidi entre nous deux.
Combien ces saisons deviennent monotones
Alors que, sous tous ces nouveaux cieux
A droite ou à gauche, de petites choses je ramasse
Durant ce long chemin remplis de différents “roseaux”.
Et me remémorant ce drôle de parcours, comme un silencieux
« Et vint un matin… Et vint un soir… »
Imaginez un monde où l’Homme est un étranger, Où la Domotique est… Et les Robots vivent ! Ce monde est un monde réalité, un monde virtuel… Ceci est la vie. L’Homme est un virus… Une conception gérée par des Robots !
Ainsi est le reflet de ce monde, telle une dislocation Vivre dans ce tas d’injustice, quelle grande aberration Là où sont si difficiles d’établir des règles, souffrances Repères à établir, recherche de tant d’équivalence…
- OU, LA DÉFENSE DU MIEL - (Histoire proposée pour la joie des tout-petits mais aussi pour les plus grands)
Teddy l’ourson a mangé tout le miel. Les abeilles sont donc en peine. De guerre lasse, elles ne veulent se venger qu’au futur petit jour. Une escadrille se prépare. Un inventaire de la formation s’ébauche.
Aujourd’hui, été 1998.
Je suis retourné enfin dans cet autre pays que j’aime. Aujourd’hui, je suis dans ses montagnes que j’ai tant aimé tout au long de ma douloureuse convalescence. Ces montagnes que j’ai connues à ce moment, comme une seconde fécondation ! Celles qui m’ont permis de passer de la douleur de vivre à l’être, comme ce magnifique papillon que je suis aujourd’hui. Faire à nouveau un arrêt, pour attendre le verdict, celui du jury, et que soit son couperet pendant que je me repose, moi le guerrier des mots.