À tous ces anges qui veillent à nos infirmes soins Durant cette ère de tristesse et d’échanges pleins Où le repos de nos âmes est dur, loin d’être sereins Dans ce cadre, ailleurs que ceux que l’on peint.
Comme un chèque qu’on dresse au quotidien Comme une fleur, merveille nature qui passe sans teint Comme un roseau qui se pointe, se dresse droit là-haut Comme un espoir sur lequel on s’émeut, c’est si beau
Comme un avion qui nage sans ailes Comme un poisson qui flotte dans l’air Comme une girouette qui vole au grand air Comme la fumée qui nous rend si belle
Il y a des notions qui n’ont pas de queues Il y a des idées qui ne sont que jetées Il y a des envies qui ne sont pas méritées Il y a des ‘on’ sur lesquels on s’émeut
Oh, en effet, tendre et chérie Cent surprises et cent heures Donne-moi la vie à ton cœur Qu’en mon âme, ici, je te dédie
Si, debout flambe ton cœur Respire le parfum de l’hallali Expire, au creux de moi, ma mie Qu’en direct, vivent sept douceurs
À toi, mon enfant, toi qui a cet an À toi, à qui l’on fait ce que l’on mal-ose À toi, qui tremble face à l’acte dément À toi, comprends qu’ici, là, plus d’un s’oppose
Que penser de la perte d’Identité ? Comment définir l’Atteinte de personnalité ?
Question troublante sans réponse percutante Cycle universel d’une absence, ô combien gênante !
Est-ce tourner l’esprit vers la démence Quand le corps est soumis à telle outrance ?
Ici, nous… une note positive qui sache durer Quelque pont qu’il soit allègre de traverser Peut-être, peut-être…
La vie, à sa manière, vaut son vécu D’envies, en son principe a sur-vécu Ainsi, ainsi…
En tes apparats de symbolisme si différents Se révèlent tant de cultures ; bien émouvant… Paraître, telle es-tu dans ce rouge flamboyant ; Ombre au tableau en est tous tes piquants. Illustre, ô de notre vie, oui, ce corps de sang, Ravis-nous du sublime contre tous ces blessants
À ce petit brin, toi l’inspiratrice, bien loin du noir De ton quotidien la confiance respire par ton bon vouloir : J’approuve le fait qu’il m’est difficile d’échapper De ce qui est discerné par tant de petites idées !
L’amour est de ces choses que l’on donne, ou, que l’on oublie. Tant est que ce trésor, plus qu’une perle, en est chéri. Mieux en est le garder que le sublimer à n’importe qui Subtile impression d’où le bonheur, à celui qui l’a acquis.